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l'industrie de la mode néfaste pour l'environnement

27 mars 2023

Introduction

Aujourd'hui en 2023, il y a toutes sortes de mode, casual, bohème, créative, rétro... Que ces vêtements se retrouvent dans des magasins de luxe, des boutiques indépendantes ou des magasins de mode rapide, la vérité derrière ces achats cache en fait un énorme impact environnemental. L'industrie textile est l'une des industries les plus polluantes aujourd'hui. Les gaz à effet de serre sont générés par les méthodes de production, la sélection des matières premières, les habitudes de consommation et la façon dont les vêtements sont entretenus après l'achat. A long terme, prendre des mesures pour réduire son impact environnemental n'est pas une option, mais une nécessité. Quelles solutions peuvent réduire l'impact écologique de l'industrie textile ? Comment éviter cette surconsommation ? Notre façon de consommer a un impact direct sur l'environnement !

 

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27 mars 2023

Conclusion

En conclusion, les marques de mode doivent reconsidérer leur impact sur l'environnement et répondre aux besoins des clients en s'engageant dans des pratiques plus durables. Comme le souligne cet article, de nombreuses solutions existent déjà. En changeant nos habitudes d'achat, nous pouvons tous avoir un impact positif sur la planète !
27 mars 2023

bibliographie

Article 1 : L'impact sur l'environnement. Source ; Climatseed
Article 2 : La mode et la fourrure amis ? ou ennemie ? Source ; Textileaddict
Article 3 : La fast fashion et l'environnement. Source ; Magazine 
Article 4 : Les conditions de travaille inhumaine. Source ; Griotte One ans Only 
Article 5 : La contrefaçon et l'environnement. Source ; GEO
Article 6 : Faut-il blacklister la fast fashion ? Source ; Nowuproject
Article 7 : La fast fashion, qu'est-ce que c'est ? Source ; Weedressfair
Article 8 : Quel est le probleme de la fast fashion ? Source ; Radio 
Article 8 : Pourquoi,le shopping rend t'il accros et surtout la fast fashion ? Source ; Grazia 
Article 9 : Les effets de la fast fashion sur l'enfant. Source ; Humanium

27 mars 2023

les effets de la fast fashion sur l'enfants

À première vue, le lien entre la fast fashion et les droits de l'enfat n’est pas évident. Toutefois, l’industrie de la mode ne se résume pas aux vêtements. D’une part, elle fait largement appel au travail des enfants violant ainsi leurs droit a l'education, à la liberté et à la protection. D’autre part, c’est la deuxième industrie la plus polluante, avec des consequence environementale qui violent le droit de nombreux enfants à vivre dans un environnement sûr et sain.

Fast fashion et travail infantile

La demande croissante de vêtements bon marché, qui vient avec la « démocratisation » de la mode, a poussé les entreprises occidentales à se tourner vers des pays comme l'inde, le pakistan et le bangladesh pour obtenir des prix plus compétitifs. Cette situation a, à son tour, exercé une pression sur les producteurs des pays à revenus faible ou intermédiaire, pour qu’ils soient en mesure de proposer des coûts toujours plus bas et ainsi résister à la concurrence. Pour ce faire, les sous-traitants ont réduit les dépenses à chaque étape de la chaîne d’approvisionnement, ce qui s’est traduit par des salaires exessivement bas, des normes de sécurité extrêmement faibles et le recours au travail des enfants. 

L’ONU définit le travail des enfants comme « un travail pour lequel l’enfant est trop jeune ou un travail effectué au détriment de sa santé et de sa sécurité ». Les conventions de l’Organisation internationale du travail ainsi que les ODD (Objectifs de développement durable), ont établi une série de principes qui visent à abolir définitivement toutes les formes de travail infntile y compris l’esclavage, la prostitution et autres activités illicites.

Malgré une diminution du travail des enfants entre 2000 et 2012, ces quatre dernières années, on a constaté une augmentation de 8,4 millons du nombre d’enfants astreints au travail (UN News, 2021). En 2021, 160 millions d'enfant sont toujours engagés dans des activités qui les privent de leur droit à l’éducation, aux soins, à l’alimentation et, plus généralement, de leur droit d’être des enfants.

Sur les 11 % d’enfants comptabilisés comme forcés illégalement à travailler, beaucoup sont employés par l’industrie de la mode.  En effet, en raison de la petite taille de leurs mains, les enfants sont particulièrement aptes à effectuer des tâches exigeants précision et délicatesse, comme la cueillette du coton ou la couture, ce qui les rend encore plus vulnérables face à l’exploitation dans l’industrie de l’habillement.

De plus, dans les pays en développement, où la majorité des produits de fast fashion sont fabriqués, les enfants sont considérés comme des « opportunités commerciales » pour les entrepreneurs à la recherche de travailleurs peu qualifiés pouvant être payés bien en dessous du salaire minimum.

On peut aussi facilement les contraindre de travailler en raison de la vulnérabilité liée à leur jeune âge. En raison du manque de contrôle, notamment des syndicats de travailleurs, et de la complexité de la chaîne d’approvisionnement de la fast fashion, les employeurs s’en tirent souvent très bien et les entreprises comme les consommateurs sont difficilement en mesure de connaître la provenance ou la méthode de fabrication du produit final. 

le travail des enfants est une des conséquences directes de l’extrême pauvreter. Les familles vivant sous le seuil de pauvreté sont souvent obligées de compter sur leurs enfants pour survivre, les faisant ainsi travailler, pour certains dès l’âge de cinq ans. 

Ces enfants souffrent du manque d’éducations et de soins et cela contribue au cercle vicieux de l’« engrenage de la pauvreté ». Un cercle vicieux où les enfants ne disposent pas des moyens et des opportunités nécessaires pour échapper à la pauvreter, ce qui les contraint à rester dans cette industrie et à être confrontés une fois de plus à ses effets dangereux.

sources : Humanium

27 mars 2023

pourquoi le shopping rend t'il accros et surtout la fast fashion ?

Une question prise très au sérieux par une poignée de scientifiques et mise en lumière par The Athlentic. Le site américain a en effet étudié des études de neurologues, sociologues et psychologues pour expliquer comment le shopping peut agir comme une drogue douce sur notre cerveau. Le point sur ce qu’il faut en retenir.

Face aux affaires, nos neurones s’affolent

A la simple vue d’un vêtement, notre cerveau s’emballe. Enfin, plutôt le noyau accumbens, étant la partie dédiée au plaisir. Si son étiquette affiche un prix élevé, alors le plaisir diminue et laisse place à une souffrance grandissante déclenchée par le cortex insulaire. C’est la conclusion tenue par des chercheurs du MIT de Stanford qui ont étudié en 2007 les réactions neurologiques des clients à la vue de vêtements. Mécaniquement, nos neurones nous rendent accro aux bonnes affaires qui déclenchent en nous un plaisir intense.

Zara & H&M flattent notre pouvoir d’achat

Si la crise économique se fait toujours sentir au rayon fruits et légumes, on la ressent beaucoup moins chez les enseignes fast-fashion. Les prix imbattables et les arrivages fréquents des nouvelles collections contribuent à déclencher la zone de plaisir de notre cerveau et donc de rendre le porte-monnaie très réceptif.

Le shopping comme thérapie

Consommer dans le métro, dans son lit, à l’aide de son portable ou de sa tablette ? Un jeu d’enfant ! Pinterest ou Instagram aidant, le lèche-vitrine virtuel est devenu une obsession pour beaucoup. Pour preuve, les chiffres du Conseil du Recyclage des Textiles qui montrent que les Américains jettent en moyenne 32 kg de vêtements par an. Quant aux Anglaises, elles possèdent quatre fois plus de vêtements qu’en 1980. Selon la psychologue April Lane Benson, auteure de To Buy or Not To Buy : Why we overshop, « beaucoup de personnes confondent la recherche de soi avec la recherche d’objets ». Et si nous ralentissions la cadence plutôt que de chercher notre âme en faisant les soldes ?

 source : Grazia

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27 mars 2023

quel est le problème de la fast fashion ?

1. Les marques produisent quasiment 2 fois plus de collections aujourd’hui qu’il y a 20 ans. En même temps, les prix ont énormément baissé. Résultat, on n’a jamais autant acheté et possédé de vêtements.

2. L’industrie de la mode a, de base, un impact environnemental et humain. C’est pas spécifique à la fast-fashion, mais ce modèle :

  • Multiplie les impacts environnementaux et sociaux → C’est mathématique  Plus on produit en grande quantité, plus l’impact de cette production augmente.
  • Aggrave ces impacts → Par exemple, pour renouveler toujours plus vite leur catalogue et maintenir des prix bas, les marques font fabriquer les vêtements dans des pays où le salaire est moins cher (Bangladesh, Pakistan…). Et elles ne maîtrisent pas vraiment les conditions de fabrication, comme quels produits chimiques sont utilisés, où sont reversées les eaux usées…

3. L’industrie de la mode représenterait jusqu’à 10% des émissions mondiales de CO2. La majeure partie de ces émissions sont générées au stade la production des fibres textiles (70% des fibres synthétiques sont fabriquées avec du pétrole), et de leur transformation en tissu, puis en vêtement. La responsabilité de la fast-fashion dans tout ça ? Elle aggrave le phénomène, en délocalisant la production de vêtement pour payer moins cher. Sauf qu’un textile fabriqué en Chine par exemple a une empreinte carbone 40% plus élevée que s’il était fabriqué en Turquie ou en Europe → parce que la Chine alimente ses usines au charbon.

4. l'impact sur la nature 

  • L'industrie de la mode est le 2e plus grand consommateur mondial d'eau. On a deja parler du coton, dont la culture intensive a contribué à quasiment assécher la mer d’Aral en une quinzaine d’années 
  • Elle est aussi responsable d'environ 20% de la pollution industrielle de l'eau, à cause de la teinture et des traitements chimiques appliqués aux tissus. Plus de 15 000 produits chimiques différents sont utilisés pendant la fabrication des vêtements ! Cette pollution s’infiltre dans l’eau et dans le sol, où elle perturbe les micro-organismes, plantes, insectes…
  • Elle représente environ 1/3 de la pollution microplastique (des particules de plastique inférieures à 5 millimètres) des océans.
  • Elle entraîne aussi un énorme gaspillage qui se produit aussi bien avant l’achat (15% du tissu d’un vêtement serait gâché pendant sa fabrication) qu’après l’achat. Normal : les vêtements de fast-fashion sont soit abîmés soit démodés au bout de quelques mois. Tu finis fatalement par t’en débarrasser pour faire de la place, et une grande partie finit à la poubelle.

source: radio 

27 mars 2023

la fast fashion ? Quesque c'est ?

La fast fashion a émergé dans les centres de la mode comme New York ou Londres au début des années 1990. Depuis le début des années 2000, ces marques de fast fashion sont devenues de véritables empires : Zara, H&M, Topshop... Mais qu'entend-on exactement par "fast fashion" ? rapide. Souvent et à moindre coût. Une marque de fast fashion peut sortir jusqu'à 36 collections par an, contre quatre pour une marque de mode classique. La fast fashion a été critiquée pour ses nombreuses conséquences sociales et environnementales. 

À la fast fashion correspond une pollution des sols à grande échelle.

Par exemple, des cultures comme le coton sont très gourmandes en eau, et ce matériau est le plus utilisé dans l'industrie du vêtement (environ 1/4 de la production mondiale). Les cotonniers sont des plantes très délicates qui demandent beaucoup de manipulations. Mais l'intensification des cultures pour suivre le rythme de la production s'est traduite par une augmentation exponentielle de l'utilisation de pesticides et d'OGM dans ces champs de coton. Le sol devient alors dépendant de ces produits pour être cultivable.
Pour limiter les coûts, la fast fashion privilégie toujours les matières non renouvelables dérivées du pétrole telles que le polyester, l'élasthanne, le nylon ou encore l'acrylique. A cela s'ajoutent les déchets générés par ces produits, qui finissent dans les champs et les rivières environnantes. Ces produits chimiques finissent par polluer l'eau, le sol et empoisonner les résidents locaux.

Au-delà de l’impact environnemental de la fast fashion, il y a des hommes et surtout des femmes qui ont fabriqué nos habits. 

La production de fast fashion se fait en majorité dans des pays où les minima sociaux ne sont pas respectés : absence de contrat, travail de l’aube au coucher du soleil, salaires de misère, bâtiments insalubres, travail des enfants : la liste des défaillances est longue.

source: WeDressFair

27 mars 2023

faut t'il "blacklister" la fast fashion ?

D'un point de vue économique, la fast fashion a rendu possible la démocratisation de la mode en rendant les vêtements plus accessibles, mais malheureusement, d'un autre côté, elle a eu de nombreux impacts négatifs sur l'environnement, la surconsommation et les problèmes opérationnels. Tant de vêtements ? En raison de l'utilisation de matériaux de qualité inférieure et d'une main-d'œuvre exploitée ! Aujourd'hui encore, plus de 500 milliards de dollars de vêtements sont jetés chaque année car ils sont inutilisés, réutilisés et réévalués. C'est un résultat typique de la mode rapide, acheter des choses juste pour les porter, mais en vain.
Trop de vêtements et pas assez de vêtements recyclés ou de seconde main est un problème majeur dans une industrie qui nous incite à surconsommer, en effet un tiers des femmes pensent que les vêtements portés une ou deux fois sont vieux. ou obsolète.

23 mars 2023

La contrefacon est l'environnement

Acheter des produits contrefaits équivaut à consommer des produits qui sont généralement fabriqués à des milliers de kilomètres avec un impact carbone astronomique. Les jeunes doivent donc être sensibilisés aux comportements inacceptables des contrefacteurs et à leur manque de civisme, rappelons que les dernières statistiques des douanes françaises, publiées en février, montrent une augmentation du nombre de contrefaçons de 9,1 millions d'articles en 2021 - soit 40% augmentation par rapport à 2019, avant la pandémie de COVID-19. Selon une étude menée par Unifab auprès de 25 entreprises différentes, plus de 32 millions de fausses publicités ont été retirées des plateformes de vente en ligne pendant un an par ces entreprises. La contrefaçon a été un problème sur le marché du luxe à travers l'histoire, les marques ont tenté de lutter contre ce problème à plusieurs reprises. Pourtant, la contrefaçon a une place non négligeable, et se développe à travers le monde avec des impacts importants sur le plan économique, la perte d'emplois, l'aspect environnemental, et la dégradation de l'image de marque des marques de luxe.

Source : GEO

23 mars 2023

Les conditions de travaille inhumaine

Outre le volume du travail, ils doivent le faire dans des conditions difficiles qui impliquent de passer plusieurs heures sans boire ni manger ou même aller aux toilettes. Ce type d'emploi entraîne des accidents du travail, une grande fatigue et un certain nombre de problèmes médicaux. Dans les zones qui abritent la majorité des installations de production de mode rapide, les entreprises qui paient les salaires les plus bas de leur pays attirent généralement les travailleurs les plus talentueux lorsqu'elles paient le salaire minimum de leur pays. En conséquence, la majorité des entreprises paient moins que le salaire minimum. Seules quelques entreprises spécialisées dans la personnalisation de masse en sont exemptées, la majorité des entreprises de mode imposent des quarts de travail de 14 à 16 heures par jour, environ, tous les jours de la semaine. Lorsque la demande pour leurs services augmente, ils peuvent être amenés à travailler jusqu'à 2 ou 3 heures du matin. Parfois, ils sont obligés de travailler des heures supplémentaires, mais reçoivent une faible compensation pour cela. Leurs salaires sont bas. En conséquence, ils ne peuvent pas se permettre de refuser une opportunité de gagner un peu d'argent supplémentaire, même au détriment de leur santé.

Source : Girotti One and Only

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  • L'industrie du vêtement fait partie de notre quotidien et est un acteur important de l'économie mondiale. En 15 ans, sa production a doublé : environ 100 milliards de vêtements sont vendus dans le monde chaque année.
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